
Hubert Védrine à Paris le 2 novembre 2018. © Jacques Torregano pour JA
Déclin de la puissance américaine, essor du populisme, tyrannie des réseaux sociaux, ampleur des migrations… L’ancien ministre français des Affaires étrangères analyse les défis auxquels est confrontée une planète sans repères ni boussole.
On peut être en désaccord avec lui sur certains des dossiers qu’il eut à connaître lorsqu’il exerçait, aux côtés de François Mitterrand, la fonction clé de secrétaire général de l’Élysée – le génocide des Tutsis du Rwanda, par exemple – et reconnaître qu’Hubert Védrine fut, de 1997 à 2002, l’un des meilleurs ministres des Affaires étrangères que la France a connus depuis 1945. Aujourd’hui encore, ce réaliste dans la lignée de Henry Kissinger est, avec l’universitaire Bertrand Badie, l’un des rares vrais spécialistes hexagonaux des relations internationales, qu’il suit d’un œil acéré, sans complaisance aucune pour l’hubris des Occidentaux et les chimères du politiquement correct.
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