
Gare ferroviaire à Bobo-Dioulasso © Renaud VAN DER MEEREN pour Les Editons du Jaguar
Les parlementaires burkinabè ont adopté la nouvelle concession pour la gestion et l’exploitation du chemin de fer Abidjan-Ouaga, conclue entre le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et le groupe Bolloré. À la clef : 400 millions d’euros pour réhabiliter la liaison ferroviaire entre les deux villes.
Le texte de 66 pages, assorti d’annexes (voir ci-dessous), constitue une véritable refonte de la gestion et l’exploitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou, et donne à la Société internationale de transport africain par rail (Sitarail, filiale du groupe Bolloré) la responsabilité des investissements pour le renouvellement complet de 852 km de voies ferrées – sur les 1 260 km reliant Abidjan à Ouagadougou – et de maintenance des infrastructures du réseau. Ces travaux de réhabilitation, prévus sur cinq ans, ont déjà démarré en Côte d’Ivoire. « Nous devons maintenant nous entendre avec le groupe Bolloré pour le lancement des travaux de réhabilitation au Burkina », explique Vincent Dabilgou, ministre des Transports.
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.